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  • Beaucoup de pays « s’approvisionnent » en Chine

    pour ce qui concerne « les feux d’artifices »

    les chinois ont été si mes souvenirs sont exacts,

    les premiers à inventer la poudre !?

    Regardez où ils en sont aujourd’hui

    et ce qu’ils arrivent à faire avec un peu de poudre du colorant,

    mais l’art est aussi au rendez-vous.

    sur le lien qui suit et visionnez le film jusqu’au bout

    en grand écran avec le son !

    Vous ne serez pas déçus.

     

    En retard d'une guerre

    mais non en avance deux deux années ou presque


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  • Emile zola

    " La passion est encore ce qui aide le mieux à vivre."

     

     

     

    Dans le rude univers des Rougeon-Macquart,

    on n'imagine pas la place pour les animaux,

    et les chats en particulier.

    Pourtant, Emile Zola (1840-1902)


    avait la passion des chats,

    et il en mis quelques-uns en scène dans ces


    plus célèbres romans.

     

    Le rêve secret de l'auteur de Germinal aurait été de rassembler,
    à travers son oeuvre, une véritable arche de Noé, car affirmait-il :
    "Je suis un ami des bêtes et, dans mes livres, j'ai mis la vie totale :
    les bêtes et les hommes." Zola racontait volontiers que lorsque,
    étant jeune écrivain, il vivait dans une chambre parisienne,
    il la partageait avec cinq ou six chats.

     

    Quand le succès lui permis de s'installer en banlieue,

    à Médan,


    il en eut tout un groupe.

     

    Maison d'Emile Zola à Médan.

     

     

    " Les chats, je les aime fort,

    ils furent mes favoris ",

    confiait-il.

     

     

    On retrouve un reflet de ceux qu'il aima

    dans plusieurs textes,dont


    Le Paradis des chats,

    un des nouveaux contes à Ninon,

    où un chat de maison tente de suivre les enseignements

    d'un matou de gouttière

    puis y renonce,

    effrayé par le danger extérieur,

    préférant le confort et


    l'assurance d'un repas quotidien

    à une liberté totale.

     

    Dans La faute de l'abbé Mouret,

    on retrouve trois chats.

     

     

    Seul François, le chat de Thérèse Raquin, possède un regard diabolique.

     

    Mais c'est sans doute dans le personnage de Minouche,

    la délicate petite chatte blanche de la Joie de vivre,

    que Zola a mis le plus de tendresse et d'humanité.

    Minouche dont il confiait qu'elle avait été l'animal le plus aimé.

     

    " Ah ! voyez-vous ", disait-il, "

    la mort des bêtes est une chose bien spéciale.

    Mais elle ne saurait toucher et faire songer que ceux qui les aiment...".

     

     

    Surprenant Emile Zola,

    peintre sans pitié des passions et des tares de l'humanité,

    qui se penchait sur la psychologie des animaux avec intérêt,

    et qui peupla sa demeure et son jardin de lapins,

    poules, coqs, oies, canards, d'une vache et

    d'un âne ainsi que de nombreux chiens et chats...

     

     

    La cause des animaux passe avant le souci de me ridiculiser.
    Pourquoi la souffrance d'une bête me bouleverse-t-elle ainsi ?
    Pourquoi ne puis-je supporter l'idée qu'une bête souffre
    au point de me relever la nuit, l'hiver, pour m'assurer que
    mon chat a bien son bol d'eau ?


    Pour moi, je crois bien que la charité pour les bêtes est faite de ce
    qu'elles ne peuvent parler, expliquer leurs besoins, indiquer leurs maux.
    Une créature qui souffre et qui n'a aucun moyen de nous faire
    entendre comment et pourquoi elle souffre, n'est-ce pas affreux,
    n'est-ce pas angoissant ?

     


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  •  

     

    Un p'tit coin de paradis cliqué  dans la propriété de Marilyne

    un matin, avec le p'tit café de l'amitié 

    Le plus beau décor

     CHAT se partage


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  •  

    Heureusement  les photos sont de la journée d'hier car aujourd'hui.....il pleut 

    Le pas des ballerines

     


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  • P'tit grain de folie


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    Il pleut, il pleut bergère...

     

     

    Il pleut, il pleut, bergère

    est une chanson française tirée de l'opérette Laure et Pétrarque

    écrite en 1780 par Fabre d'Églantine,


    l'auteur du fameux calendrier républicain.

    La musique est du Messin Louis-Victor Simon.

     

     

    Illustration de Benjamin Lacombe

     

    La bergère à laquelle la chanson fait référence

    est en fait la reine Marie-Antoinette

    qui aimait à jouer les bergères au hameau de la Reine,

    dans le parc du château de Versailles.

    L'orage fait allusion aux troubles qui conduisirent à la Révolution française.

    La petite histoire veut qu'elle ait été chantée au lendemain de la prise de la Bastille,

    et que son auteur l'ait fredonnée quelques années plus tard en montant à l'échafaud.

    On raconte aussi qu'il aurait pleuré sur la charrette le menant à l'échafaud,

    se lamentant de n’avoir pas pu terminer un poème.

     

     

     

     

     


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  •  

     

    en plein bavardage


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