• Résumé :

     

     

    Quand un célibataire bien tranquille accepte de prendre en pension, le temps des vacances, le chien de son meilleur ami, l'aventure commence. Il faut reconnaître que Néron, boxer bringé, lourd de quarante kilos de muscles et de malice canine, a une étonnante propension à faire d'énormes bêtises.La preuve est ainsi administrée qu'un chien peut bouleverser une existence quiète et organisée, tout en se révélant un compagnon fidèle et tolérant. Ce roman humoristique de Maurice Denuzière, dédié à la mémoire d'un boxer, est un livre tendre et drôle, où sont notamment évoquées la solitude du coeur, la fragilité des relations sociales et, surtout, l'affection sincère dont ont besoin les chiens et les hommes.

     

     

     

     

     

    Croyez-moi vous ne regretterez pas de vous laisser "mener en laisse" par ce récit drôlatique.

    Un roman très plaisant à lire !!!

    Extraits :

     

    Début du roman ..." Quand le téléphone sonne à l'heure du petit déjeuner que je prends habituellement vers neuf heures et quart - un œuf mollet, deux toasts dorés, trois cuillerées de marmelade anglaise, quatre tasses de thé au lotus, la première embuée d'un nuage de lait - c'est l'appel d'un intime ou la brutale intervention du destin malveillant. "

     

     

     

    " Vous voyez à quoi ressemble un grand boxer de deux ans : quarante kilogrammes de muscles gouvernés par une tête de colonel prussien amateur de pendules, carrée, massive, rébarbative et prolongée d'une truffe noire pareille à un vieux morceau de caoutchouc rapé. Ajoutez à ce faciès martelé de catcheur des oreilles raides coupées en pointe, une gueule hérissée de crocs gros comme des dents de cachalot, mais traîtreusement dissimulés sous des lèvres pendantes et molles, prolongeant des bajoues flasques (ce qui donne au quadrupède un air débonnaire d'un philosophe sceptique) et vous aurez le portrait de Néron. Peut-être faut-il préciser que  le boxer de mon ami est de robe bringée à fond fauve, conséquence, affirment les spécialistes, d'un patrimoine héréditaire riche en gènes multiples à action cumulative. Quant à la marque blanche qui lui tient lieu de plastron, elle ne constituerait, toujours selon les gens compétents, qu'un albinisme de surface et des plus seyants."

     

     Dignement assis (Néron le boxer), attentif au maintien de son équilibre sur le cuir platiné du siège et au déroulement du paysage, il se révéla passager de bonne compagnie.

     

    V A L O U

     

    Biographie de l'auteur :

     

    Maurice Denuzière est né le 29 août 1926 à Saint-Étienne. Après des études dans le journalisme et un début de carrière dans l'aéronautique navale, il se lance dans le journalisme. En 1951, il devient chroniqueur pour France-Soir et le journal Le Monde. Passionné par l’écriture, il est l’auteur de plusieurs best sellers. Maintenant devenu un auteur assez célèbre, il est surtout connu pour sa suite romanesque intitulée Louisiane, en 6 volumes (1977-1987).

     

    Prèsentation du documentaire de 30 millions d'amis diffusé le 2 février 1980 :

     

    Maurice Denuzière auteur de "Un chien de saison", où il raconte d'un ton badin comment il a accepté de garder un boxer campagnard dans son appartement parisien et les aléas de cette cohabitation de quelques semaines. Des extraits du roman sur des de l'animal ainsi que des séquences filmées dans la rue avec le chien ponctuent le récit de l'écrivain : rencontre inamicale avec des congénères, attirance du boxer pour des tulipes rouges dans la vitrine d'un fleuriste...

     

    http://www.ina.fr/video/CPA8005478404

     

     

     

     


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  • C'est tellement rare de disposer de photos de notre ami SHOKO

    que nous nous vautrons dans l'orgie,

    oui en plus sur un lit

     

    S H O KO   ARBORE SES 15  PRINTEMPS  !!!

    Il ne les fait pas ??? n'est ce pas !


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    Avoir un chat dans la gorge  :

     

     

    Cette expression signifie être enroué.

    Drôle d’image, quand même !
    Comment le fait d’être enroué a-t-il pu être comparé au fait d’avoir un félin dans la gorge, pauvre bête forcément paniquée, griffant et mordant pour s’échapper de ce lieu étroit et inhospitalier ?

    Eh bien la seule explication qu’on ait de cette métaphore est proposée par Pierre Guiraud, en 1961 dans son « les locutions françaises » : il semble que cela vienne d’une confusion ou jeu de mots entre ‘matou’, le fameux chat qui s’incruste dans la gorge, et ‘maton’.

    Ce dernier terme, désignait à l’origine du lait caillé ou les grumeaux de ce lait. Par extension, cela a aussi désigné des amas de poils, de laine, de fibre de papier qui peuvent obstruer des orifices.

     

     

    Or, lorsqu’on a la voix enrouée, c’est souvent qu’on est malade et qu’on a des glaires dans la gorge, glaires que, par comparaison aux grumeaux du lait caillé ou aux choses qui bouchent des conduits, on peut appeler un maton ou, par erreur ou jeu de gru-mot, un matou donc un chat.

     


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    V A L O U

    Chanson du chat gris

     

    Heure très belle et très fine

    Où le soleil non pareil

    Qui décline

    Promène sur le mur de longues tresses d’or !

    Ok regarde ! sur le gazon

    Devant la maison.

    Le chat gris à la queue rayée,

    Qui, charmant tigre domestique,

    Lève une patte

    Délicate

    Et joue avec un moustique.

    Louis Codet

     


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    L'essayer c'est l'adopter

     

     

    Voyez un peu comme j'ai le rythme dans la peau

     

     


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  • Petit glouton

     

    Un petit glouton peut-être au féminin

     


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    Il est courant de nos jours de diffuser des huiles essentielles pour avoir une atmosphère chaleureuse. Nous recourons à l’aromathérapie dans bien des cas, et là encore les huiles essentielles sont utilisées. Même les nettoyeurs vapeurs sont plus efficaces avec quelques gouttes de ces précieuses huiles aux vertus incontestables…pour les humains ! Cependant, on ignore souvent les méfaits que peuvent avoir de telles pratiques sur les chats…

     

    Une enzyme que le corps du chat ne produit pas

     

    Qu’on les respire ou qu’on les ingère les huiles essentielles se retrouvent dans notre corps. C’est une enzyme, la glucuronyl transferase, qui va faire en sorte qu’on élimine les résidus des huiles essentielles dans notre organisme. Oui mais voilà, le chat est l’une des rares espèces à ne pas sécréter cette enzyme. De ce fait, au lieu d’être transformés par l’enzyme puis éliminés par les voies naturelles, les résidus d’huiles essentielles se retrouvent stockés dans le foie. Et en quelques jours à peine, le leur commence à saturer de ces résidus, pouvant alors créer de graves lésions, des défaillances hépatiques et finalement, un décès. Bien souvent le vétérinaire lui-même ne sait pas la toxicité qu’elles peuvent provoquer sur le chat, il peut même prescrire des inhalations en cas de coryza, ou des colliers apaisants, anti-puces, etc. contenant une quantité importante de différentes huiles essentielles. De ce fait, quand le foie commence à mal fonctionner, il ne cherche pas par là, et en de rares cas, le décès est assimilé à la prise d’huiles essentielles. Seuls les cas où l’on recherche par le biais d’une autopsie, précisément au niveau du foie, ce qui a provoqué le décès peut indiquer la présence en grande quantité de ces résidus. La plupart du temps, en absence d’autopsie, le décès sera justifié par une défaillance hépatique sans autre raison, j’ai vu un cas où on évoquait même un problème congénital…

     

     

    En faisant mes recherches sur cette toxicité, je suis tombée sur la dose maximale qu’un chat peut ingérer par an : deux gouttes sont le maximum que son foie peut accepter en une année pour ne pas être mis en danger ! C’est-à-dire, l’équivalent de 0.005 goutte par jour. A ce dosage là, les huiles essentielles ne sont donc pas assez puissantes pour que leurs vertus soient utiles pour nous, humains. Par ailleurs, une fois, on m’a rétorqué que les huiles essentielles étaient des produits naturels donc inoffensifs.

     

    Alors, pensez-vous vraiment que le jeu en vaille la chandelle ? Pensez vous qu’un bienfait temporaire entraînant de graves lésions permanentes est un moindre mal ? Pensez-vous que la douce odeur qui se dégage de votre brûle parfum soit plus importante que le foie de Minet ? C’est à vous, et vous seul, d’en juger mais à présent vous en connaissez les conséquences possibles, conséquences qu’on ne vous donne jamais en vous les recommandant.

    Marie-Hélène Bonnet
    Comportementaliste du chat

     

    Pour ceux qui seraient intéressés, sachez qu’il existe cependant une méthode qui semble sûre et apparemment assez efficace pour nos amis les chats : l’emploi des hydrolats (dont les eaux florales et élixirs floraux comme les fleurs de Bach). Il semblerait qu’il n’y aurait aucun risque pour nos chats et ils permettraient ainsi aux adeptes des huiles essentielles d’employer un substitut sans risque pour leurs petits compagnons.

     

     


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    Toutes les belles et les matadors du Prasmel

    s'unissent pour  souhaiter un

    à      I P S O S

     


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