• La Mer

    Charles Trénet

     

     

    V  A L O U

     

     

     

    Savoir se reposer,

    c'est une augmentation précieuse de la vie.

     Henri-Frédéric Amiel ; Fragments d'un journal intime (1821-1881)


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    A la croisée de ma virée de ce matin, cette jolie fleur de magnolia

     

    Fraîche


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    Le chat créole

     

    Résumé :

     

    Je suis née avenue de l’Impératrice-Joséphine, aux Trois-Îlets en Martinique. Au début de ma vie, j’ai connu l’enfer, mais j’ai bravé mes craintes pour avancer dans la vie – oui mais à quatre pattes, car je suis un petit chat.

    Une rencontre incroyable va changer le cours de mon existence, d’où va naître un riche amour réciproque.

    Ramenée à Paris par mes deux sauveteurs, je m’installe dans leur appartement et cohabite harmonieusement avec Thésis, le premier chat de la maison.

    Je sais comprendre les hommes et me faire comprendre d’eux, grâce à mes miaulements et mimiques. Je sais aussi appréhender les questions complexes et commenter les événements importants: la politique, les faits de société, le sport, mais aussi la vie de la famille. Chaque fois, je donne mon avis et j’échange avec les hommes.

    À travers mon histoire et les bonheurs et malheurs de ma famille, j’exprime une philosophie: il faut se battre pour repartir après chaque choc de la vie. Il est également indispensable de donner pour recevoir: on ne peut pas être aimé si l’on n’aime pas soi-même, on ne peut être heureux qu’avec les autres.

     

    Livre écrit avec la collaboration de Julie Trevily

     

     

     

    Extrait : chapitre 1

     

    Pour être honnête, je n’ai guère de souvenirs des premiers jours de mon existence ; pourtant ils auront un impact très net sur le reste de ma vie. Ils ont conditionné ma volonté de vivre, et plus encore, de profiter de chaque instant qui m’était donné. C’est probablement l’apanage de ceux qui ont connu des débuts diffciles, cette capacité à apprécier les petits plaisirs ou les grands bonheurs pour ce qu’ils sont. J’ai croisé de nombreuses créatures terrestres, incapables de s’extraire du regret, du désir, de la jalousie, causant en ce bas monde bien des malheurs, sans pour autant réussir à atteindre la joie, ce qui rend d’autant plus inutiles leurs actes négatifs. Pourquoi s’enraciner dans le négatif lorsqu’on sait qu’on n’en retire rien ? Mais d’ailleurs, plus largement, cette interrogation conduit à d’autres questionnements: à quoi sert-on ici-bas ? Existe-t-il un grand dessein qui nous est caché ?


    Vaste question

     

    Une chose m’apparaît clairement en tout cas : nos actes ont des conséquences, tout comme nos pensées et notre aptitude à nous ouvrir aux autres créatures ; l’amour et le respect peuvent changer la face d’une existence en un claquement de doigts. Seul le partage et la réciprocité en font un état qui dure dans le temps. Celui qui accepte la vie telle qu’elle est, de lutter quand il est temps et d’abandonner une partie pour gagner la guerre ailleurs peut trouver une certaine paix et apprécier son existence. Ma vie entière s’est appuyée sur cette idée de fraternité, de connivence et de réciprocité. J’ai pu profiter de tout ce qui m’était offert, voyant autour de moi désolation et bêtise causer la perte et la douleur, alors qu’il est si simple d’être heureux. J’ai, tant que je l’ai pu, essayé de transmettre cet amour et ce partage autour de moi. Certes, cela ne suffit pas, on n’est jamais à l’abri de la maladie, d’un accident ou de tout autre aléa, mais c’est une philosophie que j’ai apprise très tôt. Le hasard constitue davantage pour moi une réalité que l’idée d’un grand dessein. Finalement ne serait-ce pas plutôt la capacité à s’adapter à son environnement qui ferait de nous des créatures victorieuses des aléas ? J’en reste persuadée au vu de mon existence passée, mais celle-ci est une autre histoire.

    J'ai découvert récemment ce roman mais  je ne l'ai pas encore lu.  

    V A L O U

     


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    Le chat mange équilibré

     

     

     

    Les chats se soucient de l'équilibre nutritionnel de leur alimentation et sont capables de changer leur préférences, selon des chercheurs britanniques et australiens. Des expériences ont montré que "les chats ont initialement choisi les aliments en fonction de leurs préférences gustatives, mais après un "apprentissage" de leur composition nutritionnelle, ils ont fait leur sélection pour atteindre un équilibre particulier (50/50) de protéines et de graisses, indépendamment de la saveur"

    explique Adrian Hewson-Hughes, auteur principal de l'étude.

     

     

     


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    Levure de bière : ajoutez un peu de levure de bière dans la nourriture de votre animal. Cela fera fuir les puces et renforcera son poil grâce à la vitamine B1 contenu dans cette levure. Selon des experts, cette vitamine aide à ce que le sang ait une odeur qui repousse les parasites comme les puces.

    On peut obtenir aussi de bons résultats contre les infestations de puces, en saupoudrant le pelage de paillettes de levure.

     

     

     Faites des bêtises, mais faites-les avec enthousiasme.

    Colette


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    Jamais en juillet sécheresse n'a causé la moindre détresse

     

    Si le début de juillet est pluvieux, le restant du mois sera douteux.


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  • Au jardin des délices

     

    Le Français et spécialiste des macarons

     Pierre Hermé est sacré meilleur pâtissier du monde

     

     

    Issu d'une lignée de quatre générations de boulangers-pâtissiers alsaciens, celui que la presse a surnommé "le Picasso de la pâtisserie" ou "le Dior des desserts" pour sa créativité, règne sur 47 boutiques dans 12 pays.

     

     

     

    A 54 ans et après 40 ans de carrière, cette figure de proue de la haute pâtisserie française a désormais sa statue en cire au musée Grévin à Paris et son nom dans le dictionnaire Larousse. 

     

    Si ce pâtissier amateur d'art et de design propose des collections de chocolats, tartes et cakes sans cesse renouvelées, il est surtout associé au macaron, un petit gâteau dont le corps est formé de deux biscuits à la poudre d'amande et le cœur d'une crème parfumée, qui se vend 2,10 euros l'unité. 

     

    Une carrière commencée à 14 ans 

    Une douceur que Pierre Hermé, qui a commencé sa carrière à 14 ans auprès de Gaston Lenôtre, en 1976, avant de rejoindre Fauchon quelques années plus tard, n'aimait pas au départ. "Je trouvais ça trop sucré", dit-il. 

     

    "Ce qui m'a donné envie de travailler le macaron, c'est qu'il n'y avait alors pas grand-chose, juste du café, du chocolat, et de la vanille. Je me suis dit qu'il y avait vraiment un champ de créativité à explorer", raconte-t-il à l'AFP, dans son bureau lumineux près du parc Monceau.

     

    Dans les années 1980, il se lance dans d'inventives associations de saveurs, "pour rendre le goût du macaron plus ludique". Leur goût est d'autant plus intense que la garniture est généreuse, explique le pâtissier qui a également travaillé chez Ladurée, maison réputée elle aussi pour ce petit gâteau. 

     

     

    L'inspiration par le goût, la lecture ou l'image 

    Pour Pierre Hermé, qui a créé son entreprise en 1997 avec Charles Znaty, inaugurant l'année suivante sa première boutique au Japon avant d'ouvrir en France, le sucre doit être dosé "comme un assaisonnement".

    Parmi ses associations de saveurs à succès, le macaron huile d'olive et vanille, le Mogador (chocolat au lait et fruit de la passion), ou encore l'Ispahan, un best seller alliant framboise, litchi et rose. 

    Ses sources d'inspiration? "Ce peut être un produit que j'ai goûté, une lecture, une image", dit Pierre Hermé, qui commence toujours par dessiner et écrire la recette, avant de la soumettre à une équipe de chefs pâtissiers chargés de réaliser les essais. 

     

    "On a par exemple travaillé sur un macaron marron/poire. Mais au bout de deux ou trois essais, il a fallu se rendre à l'évidence qu'on n'arriverait jamais à avoir un macaron alliant un bon goût de poire et un bon goût de marron. Donc j'ai décidé d'en faire deux, un à la poire et un au marron, que l'on vend en même temps", explique Pierre Hermé, qui conserve toutes les notes ayant servi à ses créations. 

     

     

    Sa mère a essayé de le dissuader de devenir pâtissier 

    Ce passionné de vin est aussi un habitué des collaborations avec d'autres créateurs, qu'il s'agisse du parfumeur Jean-Michel Duriez, ancien "nez" de Rochas, ou d'artistes comme l'Italien Giuseppe Penone dont l'oeuvre lui a inspiré une bûche de Noël. En ce moment, l'artiste français Nicolas Buffe illustre les coffrets de ses chocolats avec son univers féerique, mi-manga, mi-baroque.

     


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