La présence d'un animal dans un foyer

 permet de vivre plus longtemps.

Une nouvelle étude parue dans le magazine américain Psychology Today l’affirme : avoir un animal de compagnie – chien ou chat – permet d’augmenter son espérance de vie !

Vous avez, ou avez eu un chien ou un chat ? Vous avez des chances de vivre plus longtemps que quelqu’un qui n’en a pas ou n’en a jamais eu ! Telle est la conclusion d’une étude dirigée par Enayet Chowdhury du département d’Epidémiologie et de médecine préventive à l’université de Monash, à Melbourne, en Australie.

Pour arriver à un tel constat, les chercheurs ont récolté pendant 11 ans des données auprès d’un groupe de personnes âgées vulnérables : 4 039 personnes exactement, âgées de 65 à 84 ans, toutes souffrant d’hypertension. Il est apparu que le taux de survie s’est amélioré de 26% pour les personnes qui possédaient un animal au moment de l’étude. Pour celles qui en avait déjà eu un au cours de leur vie, ce taux de survie s’était amélioré de 22%. Cela montre donc que la présence d’un animal augmente l’espérance de vie, y compris pour les personnes qui n’en avaient plus au moment de l’étude.

Le chat aussi permet à l’homme de vivre plus vieux

Autre fait notable : les nombreuses études précédentes réalisées sur ce sujet ont démontré les effets bénéfiques des chiens sur la santé : diminution de la pression artérielle, aide contre le stress, remède contre l’obésité… Mais pour la première fois, cette nouvelle étude prouve que les chiens ne sont pas les seuls animaux domestiques à avoir des effets positifs sur notre santé : les chats, eux aussi, procurent à peu près les mêmes effets, à en croire les résultats sensiblement égaux de cette étude entre ces deux espèces. Toutefois, le taux de survie le plus élevé a été observé chez les personnes qui possédaient un chien et le sortaient régulièrement.

Qu’ils possèdent actuellement un animal – chien ou chat - ou qu’ils en aient possédé un au moins une fois dans leur vie, les individus sont donc bel et bien susceptibles de vivre plus longtemps. Cela tient notamment au fait que l’animal agit sur le niveau de stress de l’homme, l’un des facteurs les plus influents sur les problèmes cardiovasculaires.

Source : WAMIZ

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