L’odorat du chat : 100 fois supérieur au notre !

On s’en doute, pour un tel chasseur, l’odorat est primordial. C’est bien simple, on y dénombre près de 200 millions terminaux olfactifs contre seulement 5 millions pour l’Homme. Une capacité extraordinaire qui lui permet, non seulement, d’asseoir sa domination sociale en délimitant son territoire et en repérant celui des autres mais aussi de distinguer la nourriture avariée de celle comestible.

Son organe de Jacobson, absent chez nous, est indispensable pour son analyse des odeurs qui se présentent devant lui. En retroussant les babines, il active cette partie de l’organisme lui permettant d’engloutir les fragrances environnantes et de se faire son avis sur les éléments présents devant lui.  

Avec un tel nez, on imagine aisément qu’il regrette sa carence en papilles gustatives lui empêchant de profiter pleinement des saveurs des aliments !