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    LE CHAT MANX 

     

    Originaire de l’île de Man, (à mi-chemin entre l’Angleterre et l’Irlande) dont il a pris le nom, ce chat est le curieux résultat de croisements restreints dus à une population féline assez limitée ; la sélection naturelle a donné naissance à ce chat très particulier, connu pour être privé de queue, et dans ce cas désigné sous le nom de Rumpy. 

     

    La mutation du gène, cause de l'absence de queue et donc de la rareté de cette race, s'est développée sur l'île à cause de l'isolement des chats et de la trop forte consanguinité. 

     

     

    Folklore et légende 

    Le folklore anglais attribue ce caractère à la pingrerie des habitants de l'île, qui auraient, lors d'un lointain hiver très rigoureux, coupé la queue de tous les chats pour économiser le bois de chauffage.

    En effet, la porte de la maison se refermerait ainsi plus vite sur les chats, ce qui éviterait que la chaleur ne s'échappe dehors. 

     

     

    Selon la légende, le chat Manx aurait été le dernier animal à monter sur l'Arche de Noé mais au moment où il embarqua, la porte du bateau se serait refermée sur la queue du chat qui fut sectionnée. 

     

    Le chat Manx n’est toutefois pas toujours sans queue car on trouve aussi le

    Stumpy, qui en a un petit bout

    , le Riser, dont le bout de queue ne se devine qu’au toucher,

    et le Longy, doté d’un véritable appendice caudal.  

     

     

    L’existence de ces autres types de Manx est une chance,

    car les gènes qui portent l’anourie (l’absence de queue)

    sont très dangereux pour la survie des chatons. 

    Le chat Manx VALOU

     


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  • Acheter chat en poche

     

     

    C’est conclure un marché sans voir l’objet de l’acquisition et sans en connaître la valeur ou bien terminer une affaire sans l’examiner.

    Le mot poche que quelques paysans français prononcent encore pouche est ici le synonyme de sac ; c’est comme si l’on disait :

    Acheter un chat enfermé dans un sac, c’est-à-dire sans le voir,

    ce qui est le fait de quiconque commet une imprudence

    ou agit avec simplicité.

    L’usage de ce proverbe doit remonter au XVIe siècle

    , où l’on disait alors : Folie est d’accepter chat en sac.

    A la même époque, Montaigne, dans ses Essais (chap. Ier)

    disait à propos d’un cheval  :

    Vous n’achetez pas chat en poche ;

    eh bien, si vous marchandez un cheval vous "luy ostez ses bardes"

    (lui ôtez ses harnais), pour le voir nud et à descouvert

    (nu et à découvert).

    Plus récemment, Molière, dans sa comédie de M. de Pourceaugnac, 1669 (acte II, scène 7), fait dire à l’acteur :

    Vous êtes-vous mis dans la tête que Léonard de Pourceaugnac

    soit un homme à acheter chat en poche.

     

     

    Chat en poche

    de Georges Feydeau

     

    Chat en poche est la deuxième longue pièce de théâtre

    de Georges Feydeau âgé de vingt-six ans

    et cette comédie est un vaudeville atypique, sans mari trompé,

     où plusieurs malentendus se succèdent entraînant ses personnages dans un tourbillon de  quiproquos presque surréaliste.  

    Georges Feydeau y brosse le tableau corrosif et cocasse d'une société

    joliment aliénée, piquée de prétentions sociales,

    de pulsions délictueuses et d'aspirations artistiques. 

     

     

     

    La première série de représentations de Chat en poche n'est pas un succès.

    La pièce reçoit un mauvais accueil critique et quitte l'affiche après 36 représentations.

    Au fil des décennies, cependant, la réputation de la pièce grandit

    et elle est aujourd'hui considérée comme une des réussites de l'auteur.

     

     

    Au théâtre ce soir

    Chat en poche (Georges FEYDEAU)

     

     

     

     

    Adaptation d'une pièce de Georges FEYDEAU "chat en poche", vaudeville en trois actes, en costumes du début du 20ème siècle, relatant la mésaventure d'un jeune provincial, victime d'un quiproquo qui, débarquant à Paris est pris pour un chanteur célèbre.

     


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  • Résumé :

    Un chaton famélique est arraché des bidonvilles pour être transporté vers un somptueux sanctuaire par nul autre que le dalaï-lama. Ses yeux bleus, saisissants, découvriront bientôt tout de la vie du grand maître bouddhiste: une sagesse éternelle qui ne se révèle que dans les moments de grande tranquillité entre l'homme et l'animal. Vous suivrez le chat de Sa Sainteté tandis qu'il se frotte contre les vedettes de Hollywood, qu'il enseigne aux pieds des maîtres tibétains, et qu'il apprend ce qu'est la vie d'un bodhisattva au XXIème siècle. Vous comprendrez aussi pourquoi le statut de félin offre un point de vue unique sur la fragilité et la beauté qui résident en chaque être humain. "Le chat du dalaï-lama" est un livre léger et amusant, mais renferme aussi des leçons spirituelles qui ne manqueront pas d'alimenter votre curiosité et votre réflexion.

     

     

     

    Biographie de l'auteur

    David Michie est lauteur à succès de « Buddhism for Busy People », « Hurry Up and Meditate », ainsi que de « Enlightenment to Go ».

    Son oeuvre compte aussi quatre thrillers, dont son plus récent, « The Magician of Lhasa ».

     

     

    Voici un lien qui vous permettra d'accéder à la lecture des 20 premières pages de ce roman :

     

    http://flipbook.cantook.net/?d=%2F%2Fwww.entrepotnumerique.com%2Fflipbook%2Fpublications%2F20471.js&oid=148&c=&m=&l=&r=&f=pdf

    Autre livre de David Michie  :

     

     

    Résumé

     Qu'est-ce qui vous fait ronronner ? De toutes les questions qui existent, c'est la plus importante. C'est aussi celle qui concerne tout le monde. Car peu importe si vous êtes un chaton espiègle ou un aîné sédentaire, un chat de ruelle émacié ou un chat racé au poil lisse, peu importe les circonstances, vous ne voulez qu'être heureux. Pas le genre de bonheur qui va et vient comme une boîte de thon émietté, mais un bonheur durable. Un bonheur profond qui vous fait ronronner à partir du coeur. Pétillant de sagesse, de chaleur et d'un brin de malice, « Le chat du Dalaï-lama et l'Art de ronronner » nous rappelle de façon charmante pourquoi le Chat de Sa Sainteté est en voie de devenir l'un des chats les plus appréciés à travers le monde. Mais au fait, quelle est la véritable cause du ronron ? Le Dalaï-lama nous chuchote ce secret à son retour - seulement à l'oreille du  chat de Sa Sainteté et de ceux avec qui elle partage une connexion karmique c'est-à-dire vous, cher lecteur !

     


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    Ces clichés ont été transmis par Catherine (Minerva)

    Un grand merci


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    Kuching, la ville des chats

     

    Kuching, la capitale du Sarawak,

    le plus grand État de Malaisie,

    possède un charme unique.

    Kuching, la ville des chats.

     

     

    Située sur la côte nord-ouest de l’île de Bornéo,

    cette ville moderne offre toutes les commodités,

    mais a également su conserver un côté provincial et charmant.

     

     

    L'emblème de cette ville est le chat,

    on retrouve des statues gigantesques représentants des félins

    aux quatre coins de la ville.

     

    la statue du Grand Chat de Kuching,

    dont le regard bleu vous toise du haut de ses deux mètres,

    à celle, monumentale, d’une famille de félins

    joueurs trônant au milieu du carrefour le plus important de la ville,

    le chat est omniprésent.

     

     

    Le gigantisme n’est cependant pas une règle

     

    Le chat peut également se faire discret quand il s’approprie un espace de jeux sur les bords de la rivière Sarawak.

     

     

    Plusieurs légendes tentent d'expliquer le nom de la ville

     

    Sous le charme de ces représentations qui mêlent avec bonheur kitsch et dévotion, on se souvient que Kuching signifie "chat" en malais. Plusieurs légendes tentent d’expliquer l’origine de ce nom. L’une d’elles concerne James Brooke, le futur rajah de Bornéo, à son arrivée sur l’île en 1839. En débarquant, il aurait demandé le nom du site à un indigène en pointant un doigt dans le vague. Ce dernier, croyant que Brooke désignait un chat, lui aurait répondu "kuching". Le nom de la ville découlerait de cette méprise.

     

     

    Une explication plus terre-à-terre prétend qu'il est issu du nom d’un arbuste produisant de petits fruits, les "mata kuching" – proches du lychee –, qui rappellent les yeux du chat.

    Certains soutiennent enfin que le nom "Kuching"

    viendrait du chinois cochin signifiant "port". 

     

     

    Quelle que soit l’explication, une chose est certaine : aucune ville au monde ne mérite plus cette appellation, car le chat est représenté par de nombreuses sculpures dans toute la ville, il existe aussi un centre de recherches sur l'histoire des chats et un musée comprenant 2000 oeuvres d'art, dont un chat momifié égyptien.

     


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    Les bénéfices de la marche


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  • toujours wikipédia

    Églises des Dominicains à Colmar: magnifique Vierge au manteau de roses...

     

     

     


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